mardi 13 novembre 2007

Fort de Bikaner








Le temps passe vite. Déjà presque une semaine. Je suis en train de tenter de charger mes photos. Hier soir, on a fait un vrai resto Indien, hyper fort. En fait, après 30 secondes, on ne sent absolument plus rien du tout. J'ai tenté des épinards, pensant qu'ils allaient être en branche, en fait, c'était de la bouillie hyper forte.
Hier soir, avec Carole, on a encore refait le monde jusqu'à une heure du matin. Nous sommes vraiment très douées toute les deux! Ce matin, visite du fort de Bikaner, mais des touristes en groupes de partout. Je crois que lorsque l'on a goûté au plaisir du voyage seule, on ne peut plus partir en groupe. Pas possible.
Ici, c'est très dur de trouver un Internet. Pas de Skype en vue. Peut-être dans les endroits plus touristiques. En plus, quand on trouve, on à l'impression que 10 personnes attendent ta place. Donc moyen agréable.
Patrick nous a attendu pour partir ce matin. Le pauvre est un peu abondonné je pense, vu que avec Carole, on passe souvent nos journées séparément. En fait, on a vraiment le même rythme. Départ vers 10h. Comme avec Ana, on va ensemble sur le lieu à visiter, puis on se donne rendez-vous le soir à l'hôtel. Impec. Tout à l'heure, je vais aller visiter un super hôtel. Je me réjouis juste pas de négocier le prix pour y aller. Ils sont super pénibles ici. L'Asie, comme partout. Tout le temps discuter pour tout...

Carole n'aime pas Bikaner. Trop de bruit et de poussière. Mais bon, elle fait avec. Demain matin, on va aller voir le temple des rats, puis départ sur Jaisalmer, vraiment au bout du bout du monde. En tout cas, je dois dire que mes habits ne sont pas adaptés, il fait super CHAUD. Cette nuit, je ne savais plus comment me mettre. Tant mieux, moi qui déteste le froid.
Sinon, je perds un peu moins toute mes affaires il me semble. En plus, Ana n'est pas là pour tout récupérer, donc je dois faire attention.

Je pense très fort à toi Mariana, qui est au fond de ton lit et lutte contre la maladie. Ici, ils ne sont pas malade, mais luttent aussi pour manger et vivre. Je suis sûre que ce pays te toucherait. J'espère que tout va bien pour toi et que tu attends sagement mon retour pour voir toutes les photos.

Bon, je vais voir ce que donnent mes éventuelles photos, et je vous embrasse tous bien fort.

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